Depuis sept jours tout ce qui était prévu a perdu son sens.
Encore bien davantage s’il s’agit de petits jeux cérébraux sur la mémoire et le temps, sur le silence et l’imprévisibilité de toute parole.
Depuis sept jours, nos corps vivants ont revêtu…

Mais l’aube jamais ne cesse de revenir imposer la lumière fraternelle des femmes et des hommes, dessinant les éclats de tendresse qui parent les habits de lumière, ceux de Thésée sortant du Labyrinthe, encore, et encore, et toujours, toujours davantage de lumière.
___________________________________
n.b. le nom de l’auteur et du traducteur ont été caviardés, car ils sont sans aucun rapport avec les scènes de meurtre collectif du 13 novembre 2015
Sensible, très intelligent et si bien écrit, comme à chaque fois.
J’aimeJ’aime
L’aube ne cesse jamais possible mais quand sera-ce la grande Lumière.
Sinon nous aurons une sempiternelle lumière imparfaite. Et l’Aube comme nombre de symboles humains représente à la fois l’espoir et le désespoir.
Voir cette merveilleuse chanson « c’est à l’aube » qui se finit en plutôt dans l’espérance
J’aimeJ’aime