YDIT- TROIS : Saison 3 Episodes à venir, teasing 4/4, autrement dit agaceries anticipatrices : La Troupe de M.!

Pour cette nouvelle SAISON ( qu’on a pu observer déjà bien entamée, comme on entame une dure mimolette rouge à force d’être orange?), dans les comparses de deuxième zone – sans agent et sans argent mais pas sans emploi – une bonne âme de chez Swann(*) nul(le) ne devrait oublier ce pesant bruit de fond souvent hallucinant, dû à l’infréquentable (ou au moins on l’espère infréquenté) sinistre bonhomme, un drôle de Coco (ainsi aurait pu dire Louis Ferdinand) l’appelé COCO 19, ou des béquilles genre canon de 75 (centilitres), les duettistes implacables : l’Américain John Daniels, âpre et sombre, ou l’Ecossais Balantines.

Quand on lisait « Les aventures de Bob Morane », entre deux twists, il y a 60 ans, sur la pelouse râpeuse du  » camp d’été » à Saint Georges de Didonne ( été qui fut raconté dans une SPO), on goûtait les deux faces du récit : l’ami tonitruant et salvateur, nommé Ballantines l’auteur ne s’était pas fatigué – et le par définition malfaisant tout puissant ( mais vaincu ) « L’ombre Jaune« .

Pour YDIT-TROIS, les rôles principaux sont déjà distribués. Qu’on s’y prépare, en gémissant, gémissant, gémissant, mais espérant : on a déjà un peu vu, et encore on verra (et on lira, si on quitte la fascination pour la seule image )

La Troupe :

(par ordre d’entrée dans l’errance, sauf modification due à l’imprévu de l’actuel)

Momo le maldit de Chablis/ Dédé le Doyen du jardin : lanceurs d’histoire.

Amandine la crêpe/ Aspergrouille le déniant/ La Souffleuse aptère : occupants du vide

la souriante et ineffable DOCTEUR Clémence Meunier, la plus suave des sauvages sauveteuses en haute mare d’addiction : la sérieuse aptère et absentielle, longuement fréquentée, d’autant qu’elle multiplia de belles excuses pour ne pas s’y coller. Mais on aima tout de même la tranquille incompétence gracieuse de sa jeunesse.

Enfin – the must of the comedy – et il en faut toujours une : D.Bâ de Hurledent : la finale, la belle, l’enveloppante rugueuse, Psychiatre of the Hospital, D.Bâ, puisqu’il faut bien finir, et la seule assez futée pour couper dans le lard, le tard, le fard – et même le rare du bazar. Professor D.Bâ de Hurledent, s’il vous plait, car, dira-t-elle, cher Monsieur ,  » Vous pouvez m’appeler Professeur, je ne l’indique pas sur ma plaque, mais j’enseigne à la faculté d’Ontologie de Montoire. »( elle prétendra cela environ en juin, sur cet écran même ( à condition de tenir les délais ou de ne pas être en route pour l’exil ), et on a le temps de changer d’avis, ou de mots, d’ici là, et même en cas de pire : de changer d’air, n’est-ce-pas?);
Ah , Professor D.Bâ de Hurledent, rien que le souvenir de sa future apparition ici donne envie de se séparer du présent.

« Mais c’est déjà un peu très assez confus ainsi« , dirait l’une des comparses jouant à fracturer/relancer le dialogue, l’inoubliée FRED :  » Ne perdons pas le public – à peine quelques milliers d’abonnés, quelques centaines de lectures régulières, méfiance, ça fond comme une Bourse qui s’effondre -ou moi telle que tu m’as photographiée, la première fois...’

Cependant, ah Professor D.Bâ de Hurledent, c’est banal : certaines anticipations ( de narratif ou d’émotion), c’est l’entrée de plain-pied dans le plaisir du dialogue…

Puis, à ce menu (non un programme, même pas une esquisse : une annonce approximative)…

à ce menu s’ajoute évidemment l’addition (de l’addiction ?) l’addition, l’impudent total des mots, comme une caisse de boutique pharmacienne ou Beurre Œufs Fromages,B.O.F. à Yvetot par exemple, le décompte fait à chaque publication, comptage de ce récit de l’addiction ou comment s’en débarrasser, total qui ne dépassera pas 1000 mots. Aujourd’hui, 735.

Comme ça, c’est pratique, on sait quand ça doit commencer à finir : vers 940-950. Pas la peine d’aller s’offrir un verre, de poser les écrans, patience, ça peut attendre. 1000 mots. C’est déjà beaucoup, ne trouvez-vous pas? Après, c’est franchement trop. Même si, précisément, l’addiction c’est quand « assez » devient « trop« .

Puis, on promet de ne pas dépasser « mille mots » ( non, gardez ce jeux de maux), mais promesse d’addict, n’est-ce-pas, ne dure que le temps de la pose !

——————————————————————————————————————–Didier Jouault pour YDIT TROIS, S3 Teasing 4/4 « La Troupe de M. ». A suivre…Le début de notre nouveau grand RAISSI, populaire et populeux ( il va y avoir du monde sur les balcons), avouons que cette longue série d’attente, à présent suffit. Saint Antoine ( ou Saint Exupéry ?) écrivait -dans ses carnets évidemment perdus :  » Ce qu’il y a de dur dans les préliminaires ne doit pas faire oublier l’objectif ».

(*) Un jeu de mots, voire d’assonances, jamais ne réduira le Raissi.

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3 réflexions sur “YDIT- TROIS : Saison 3 Episodes à venir, teasing 4/4, autrement dit agaceries anticipatrices : La Troupe de M.!

    • Me lasse pas de te reluire, hihihi
      « rien que le souvenir de sa future apparition ici donne envie de se séparer du présent. »
      Dans le droit fil du plagiat par anticipation oulipien se référant à l’ami (profond?) Jorge Luis. Sweet!

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